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 Krowley Khaius - Who Let The Giant Out?

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Krowley Khaius
Krowley Khaius
Poudlard
Poudlard
Date d'inscription : 08/10/2019
Messages : 12
Emploi/loisirs : Garde-chasse
Localisation : Dans ma tanière

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MessageSujet: Krowley Khaius - Who Let The Giant Out?    Krowley Khaius - Who Let The Giant Out?  EmptyMar 8 Oct - 23:22


Krowley Khaius
ft. Jason Momoa

Carte d'identité
Je me nomme Krowley Khaius et j'ai actuellement 40 ans. J'ai vu le jour dans la charmante ville de Glasgow, le 11 février 1979. Mon père étant un sorcier et ma mère une moldue, je suis donc un sang-mêlé. Je suis actuellement garde-chasse et j'appartiens au groupe Poudlard. Ma baguette est en bois de chêne blanc et son cœur est en poil de rougarou.



Physionomie & caractère
Par où commencer... Comment parler de cette bestiole qui ne devrait pas vivre ? C’est un demi-géant de deux mètres soixante pour un peu près cent-quatre-vingt kilos de muscles forgés aussi durs que du fer. Ça fait craquer les donzelles, même si elles fuient quand elles s’approchent et découvrent qu’il n'est pas humain. Il n'arrive même pas à draguer ces messieurs.

Outre sa taille et son gargantuesque poids qui lui confère une force, une résistance et une endurance bien supérieure à la moyenne, c’est un chevelu blond à la barbe entretenue. On peut distinguer des iris vertes sauvages, rappelant la nature. En dessous de ça, des cernes. Immenses, vraiment immenses et toujours un sourire aux lèvres. Très important aussi, donner sa confiance aux gens n’est pas chose aisée. Il n’a rien pour lui.

Il porte un air sauvage et bestial, certains ne le pensent pas humain et que ce serait un animal qui aurait pris forme de demi-géant. Bien sûr, tout cela est faux. Certains disent même un requin, du coup cela n'arrange pas ses affaires, ça aide plutôt à le faire craindre.

Au niveau de ses habits, il opte toujours pour quelque chose d’ample et solide. Ça passe du pull bien chaud à la veste en cuir ou au cache-poussière, du treillis au bleu de travail. Il n’a pas vraiment de style spécifique, il s’adapte selon l'occasion. Plus généralement, quand il travaille, il porte un pull gris avec une salopette et des rangers. Quand il part dans la forêt, il est habillé d’un long manteau avec des plaques d’acier et un pantalon fait de kevlar avec des rangers et des bouts de fer pour renforcer un peu plus les chaussures. Ses tenues sont souvent rafistolées et rapiécées. Les animaux griffent et mordent. Alors ce n'est pas rare qu’il fasse le couturier entre deux besognes à faire à Poudlard. Et accessoirement, je ne parle pas de ses cicatrices qui le hantent. La plupart infligées par l'homme et non l'animal.

Caractère :
Krowley est un homme sauvage, animal dans sa façon de vivre et d’agir. Mais avant de parler de toutes ses magnifiques qualités négatives laissez-moi, vous présenter les bonnes :
C’est une personne extrêmement forte mentalement et physiquement. Loyal comme un chien envers quelqu’un qui a mérité son respect et son amitié. Il est courageux et n’hésiterait pas à sacrifier sa vie pour sauver celle de quelqu’un d’autre, même si c’est un Serpentard qu’il peut détester.

À défaut de son apparence de rustre, il est quelqu’un d’accueillant et amical. Même si son apparence encore une fois lui fait défaut. Il est franc et bon vivant qui aime passer des moments avec les gens, c’est aussi un gourmand mangeant bien plus que pour trente.
C’est aussi un grand bricoleur. Filez-lui deux boîtes de conserve et un bout de cuivre, il vous fait une centrale électrique. Il touche à tout et s’y connait que ce soit magique ou non magique. Un grand autodidacte.
C’est un passionné de la musique aussi, il a un beau filet de voix comme on dit dans le milieux et il joue beaucoup d’instruments. De la guitare en passant par le violon et la corne muse.

À défaut de tout ce qui est au possible bon. Il possède une large part d’ombre. Une grande tristesse, le fait d’être rejeté, les moqueries l’ont beaucoup fait souffrir plus jeune. Le regard des autres, il le vit encore mal aujourd’hui, la peur constante que ses démons du passé vont le rattraper.

Il a de gros problèmes avec l’alcool, il en consomme tous les soirs pour contrer son insomnie. Sinon, les cauchemars viennent le bouffer. Même avec l’alcool, il ne dort pas beaucoup. Deux voire trois heures par nuit, tout au plus. S'il dort plus longtemps, c’est qu’il va y avoir un problème.
Il a aussi une grosse addiction aux jeux d’argent mais ill est chanceux, ça compense.



Histoire
Chapter one : Happy f#@cking birthday
La seule spécifité que j’ai, c’est que je suis un demi-géant qui vient des Highlands, j’ai vécu avec mon père pendent très longtemps, en fait c’est simple, j’ai vécu avec lui jusqu'à mes 5 ans, on vivait tranquillement dans une forêt, j’ai pas connu ma mère. Et j’ai toujours était lié à la magie mais surtout par les créatures qui peuplent ce monde.

Je vous parle de ça j’ai la quarantaine, mes souvenirs peuvent être altérés. Mais je ne me suis jamais nommé Krowley Khaius, ce n’est qu’un nom que j’ai adopté par la suite.
Si je me souviens bien, mon vrai nom devait être Wallace Campbell. Comme le résistant écossais. Mais trêve de détail, je m’y perds.
L’Écosse magique, c’est bien très bien même. À la ferme avec mes différents animaux, je me suis toujours éclaté avec eux, vu que j’pouvais pas aller à l’école. Petit soucis, je faisais au moins trois têtes de plus que les autres enfants et à expliquer c'est coton.

Et y’a bien une chose sur laquelle on est d’accord. Si tu as le malheur de naître différent tu vas dérouiller sévère mon p’tit pote. Vous comprenez le rapprochement hein ? Vous n'êtes pas non plus con hein. Déjà de base, pour les sorciers, je suis une hérésie, et encore pire pour ces foutus sang-purs. Ils n'étaient pas contents que je me planque, et ils sont venus tuer mon daron qui m'a téléporté dans un cirque chez des amis. J’avais le sang de ma propre lignée sur les mains et le visage. Cet événement a marqué le début d’une longue dépression qui ne s'est jamais vraiment guérie et qui s'est développée avec le temps.

Les amis de la famille en question : les Khaius. On a décidé de me faire changer de nom pour ne pas me faire attaquer par les autres, le temps de me cacher, j’ai hérité du doux nom de Krowley. Ils ont failli me rajouter un prénom bateau du genre Kieran, Ken ou encore Kennedy. Pour faire la blague du triple K, vous comprenez hein ? Ku Klux Klan. Elle est drôle hein ? Hahahaah ! Bon ok, je m’égare encore…

J’ai vécu caché de la population et j’ai compris que je devais gagner ma croûte dans le tas, parmi les danseuses et autres clowns. Au début, ils voulaient que je joue le rôle du gamin super fort parce que j’ai hérité de ça, mais non. Ils ont compris vite fait bien fait que j’avais une affinité avec les animaux, du coup j’ai appris sur le tas jusqu'à mes onze ans où tout a changé, la classique lettre pour Poudlard et mon admission au sein des sorciers.

Rapidement, j’ai chopé mes fournitures, les livres, le chaudrons etc... Mais si y a bien quelque chose qui est utile pour un sorcier c'est sa baguette. Et là carnage, pour les demi-géants c’est un processus différent, il en faut une plus grande.

On m'a alors proposé trois baguettes :
Une en bois d’acacia avec un cheveu de vélane, elle m'a littéralement explosée entre les mains avant de repartir dans sa boîte la puteuuuuh !
La deuxième fut en chêne rouge et ventricule de dragon. J’ai eu l’impression qu’elle m'a regardée avec ses yeux de baguettes (imagé bien sûr), me froncer les sourcils et me faire comprendre que c’était pas pour moi.
Et la troisième qui a sidéré la vendeuse à l’époque, une baguette de chêne blanc avec un cœur en poil de rougarou. Elle m'a dit que la baguette choisit son sorcier, mais… Elle fut étonnée, j’étais une des rares personnes qui avait eu du chêne blanc. Cette dernière mesurait 40 centimètres.

Ensuite concernant mon animal de compagnie, j’ai ramené un vautour. On m'a dit qu’il me fallait quelque chose semblable à ma taille. J’ai pris ce qu’il y avait de plus gros hein, ne m’en voulez pas.

Après une semaine d’attente, j’allais quitter mes éléphants et autres félins pour entrer dans un monde bien plus sombre où je ne savais pas que je n’allais pas du tout rigoler, mais vraiment pas.  

Chapter two : It’s a story about a bear
L’heure du choix de la maison, je fais tâche parmi les autres qui sont infiniment petits comparés à moi. Je vois bien les moqueries, mais déjà belle bâtisse et bel accueil des autres. C’est déjà ça, faut y aller avec un peu de positif, sinon.. Puis merde, je n'ai pas envie d’être là. J’arrive enfin à mon tour pour le choixpeau qui chante, je viens m’asseoir avant que le tabouret ne lâche à cause de mon poids, ce qui arrache des rires de toute part. C’est rien, c'est un petit contretemps, je me relève vite fait faisant semblant de rien bien que c’est dur. Même le choixpeau se fout de ma gueule c'est pour dire.

Le professeur vient en montant sur une chaise et pose le chapeau avant qu’il se mette à réfléchir, ma petite voix se fait entendre que de lui bien sûr. J’ai entendu la réputation des Serpentards et je ne veux pas y aller. Tout sauf Serpentard, le reste je m’en fous. Mais, pas cette maison, ceux qui ont commencé les moqueries. Sinon j’en défonce plusieurs, si vous m’entendez le chapeau. Il a longtemps hésité entre Poufsouffle et Gryffondor, j’avais les qualités des deux maisons. Pour finir, j’ai atterri à la maison du lion, ce qui m'a soulagé un peu. Même si le blaireau m’intéressait pas mal aussi. On fait enfin cette rentrée et je suis rapidement mis à l’écart parce que les préjugés sur les demi-géants existent.

Du plus loin que je me souvienne, j’ai jamais trop eu d’amis, je suis resté en retrait avec les autres, on coopérait quand on le devait mais ça s’arrêtait là. D’un côté, je pouvais faire ce que je voulais entre guillemet, après le vautour leur faisait peur.

Il a fallut longtemps pour que je me mette à travailler correctement à Poudlard, c’est quand j’ai découvert les cours de soins au animaux magiques et commencé à fréquenter le garde-chasse de l’époque que je me suis bougé les miches. J’ai essayé d’être un minimum bon partout sauf aux potions, j’ai jamais rien bité à ça.
Entre temps je voulais occuper mes heures creuses, je me suis mis au quidditch à défaut de m’améliorer dans la musique où j’avais un très bon niveau. Le problème du quidditch pour y revenir, c’est que je me suis fait interdire, je mettais des trop gros coups de latte aux autres. Ouais, un coup de batte avec le cognard et ça pique pour les autres. Du coup, interdit de faire du sport car j'ai envoyé trop de personnes à l’infirmerie. Je me suis donc rapproché de mon professeur de soins magiques pour animaux où j’y ai découvert une grande passion pour le bricolage. À l’époque il avait récupéré un side-car que j’ai repeint et modifié. Avec le grand gabarit du bordel, je l’ai nommé "Hildisvíni" comme le sanglier de la déesse Freyja. Oui je sais, je suis un colosse avec un cerveau.

Très vite, on m'a reconnu pour mes qualités dans le monde animalier au point qu’on m'a laissé me balader seul dans la forêt interdite. Et à faire plusieurs soins sur des créatures plus au moins dangereuses, j’ai même eu l’occasion de soigner et caresser un dragon.

Ma fascination pour les animaux dangereux se développe, ma maîtrise du bricolage aussi et niveau magie également, avec un niveau moyen-bon, assez pour avoir mes diplômes relativement facilement. Et comme tout adolescent qui se respecte, on change. Je change, je deviens plus sauvage, ça se voit sur mes traits du visage. Même mes dents se mettent à imiter celle d’un prédateur. Je me mets au sport, plus conventionnel comme les moldus. Je me forge un corps d’athlète ce qui intéresse les femmes et les hommes. Même si je ne suis personne pour beaucoup mis à part un fou qui n’a pas peur d’aller observer de près les acromentules.

Je suis sorti en douce avec un gars à une époque, et ce qui est très drôle c’est qu'un Serpentard alors que je ne peux pas les blairer, était moins con que les autres. Au début, j’ai cru que c’était un canular, mais c’était bien un amour réel. Quelqu’un qui me comprenait. Je me souviens encore comment il s’appelait, Yethos Bhragnir. De l’avoir à mes côtés pendant un temps fut libérateur, j’étais plus seul. On est resté trois ans ensemble. C’est lui qui m'a acheté le foulard que j’ai autour de mon arbalète maintenant.
Je lui ai donné autant d’amour que possible mais cela s'est su. Il ne m'a jamais rien dit sur les sévisses qu'il subissait de la part des membres de sa maison. Je l’ai appris le jour d’après sa mort. J’étais en sixième année, mon professeur de soins m’avait tiré de mon sommeil ce soir là, me demandant de venir dans le plus grand des silences avant que j’arrive sur la table avec sont corps. Il s'était mutilé en me laissant une lettre où il me peignait son amour et qu’on aurait pu avancer dans la vie ensemble, même se marier.
J’ai eu ma chic coupée, pas moyen de sortir un mot, retenant mes larmes. Avant de lancer un regard haineux sur le directeur de Serpentard, qui lui, ne comprenait pas encore. Dans mes souvenirs, j’ai dû lui dire un truc du genre : "Vous…. Vous me dégoûtez Monsieur Bernos ! Vous ne savez même pas ce qu’il se passe dans votre propre maison ?! Vous arrivez comme une fleur, vous ne comprenez donc rien ! N’avez-vous jamais connu l’amour ? Où êtes vous trop bête pour le ressentir ! Je vous tiens, vous et tous vos élèves comme responsable de la mort de la seule personne qui ne m'a pas rejeté ! Je vous hais profondément." C’était bien la première fois que je m’énervais sous les regards surpris des différents enseignants. Je m’approche du corps, le regardant une dernière fois avant d’attraper sa bague. Un crâne avec les yeux émeraude. Avant de partir, n’écoutant plus personne avant de retourner dans mon dortoir comme un chat aux pattes de velour, attrapant un violon et son archet dans le tas de mes instruments pour me mettre en route vers la forêt interdite.

Ce soir-là, que ce soient les acromentules, les centaures ou autres animaux et végétaux, qui veulent ta peau si tu ne fais pas attention, qui ont apprécié les lamentations de mon violon où j’y ai fait naître une légende. Celle de l’homme au cœur déchiré qui jouerait tous les soirs de pleine lune une musique émouvante, triste et sordide. Je me souviens de ce moment où les centaures sont venus. J’ai toujours eu de bonnes relations avec eux, et je suis resté là une nuit à vouloir me consoler. Mais le manque étant trop important pour qu’on le remplace aussi facilement, je me suis juré de chérir seulement les créatures et les animaux.

Les mois passent, et les humiliations que me font subir les verts s’intensifient. Je prends sur moi, gagnant un peu d’affection de mes camarades mais pas trop. Jusqu’au jour où c’était la fois de trop. Un qui s’amusait à me rabaisser devant un prof qui essayait de le calmer. Mais le coup du "ton père est mort, c’est bien fait pour toi sale monstre !" n’est pas passé, je me suis levé de ma chaise, me rapprochant dangereusement vers lui. L’enseignant me disant de me rasseoir avant de me prendre une retenue dont j'en avais rien à faire. J’attrape le gringalet par la gorge avant de le soulever de 40 centimètres de sa chaise pour lui serrer la gorge, le secouer en le traitant de tous les noms avant de le lancer sur ses petits copains qui ne faisaient plus les malins. La punition que j'ai reçu était de patrouiller dans la forêt interdite avec le garde-chasse. Je me retrouve avec l’autre tête de con de serpent, vengeance douce vengeance.
On marche un peu, voulant en finir le plus vite, il me jette un sort qui me fait décoller. Pourtant, je suis sacrement lourd hein, mais j’ai fait un vol plané, je me souviens juste que je roulais avant de tomber dans des branches et atterrir sur des pierres. Je suis ouvert d’un peu partout, j’ai un bras et mes deux jambes cassées puis pour rajouter la cerise sur le gâteau : je pisse le sang pendant que l’autre s’enfuit. Je regarde la nuit qui semble si paisible. J’entends un craquement de branche, je vois quelque chose de squelettique, je sais pas ce que c'est mais... Ce n'est pas la première fois que je vois ça. Le squelette, depuis la mort de Yethos, je le vois souvent. Je ne l'aperçois pas bien mais je me doute que ce soit un animal. Puis à quoi bon réfléchir ? Je crache du sang avant de me mettre à rigoler, le voile noir de la mort se posant lentement sur ma vision qui se brouille, je commence à avoir froid. Père, Yethos, j’arrive vous rejoindre…
Je sens une douce main glacée me prendre, arracher mon âme et me faire des chatouilles dans le nez. Bordel ! C’est quoi ça ? J'ouvre les yeux avant d’avoir autour de moi plusieurs chevaux squelettiques, maigres au regard blanc et vide. De belles bêtes, je me souviens que j’ai dû leur dire un truc du style "salut vous".
Il faisait toujours aussi noir, j’ai compris que la mort ne voulait pas de moi et que les bestioles qui m’entouraient voulaient me faire passer un message.
Et au vu de leurs grattages de sabots sur le sol et celui qui me pousse de la tête ça veux dire "relève-toi et rampe puis surtout bouge tes grosses fesses de géant t'as de la route à faire." J’aurais préféré lève-toi et marche, et étrangement j’ai une envie de bièraubeurre à cet instant. Je finis par me retourner vu que j’étais sur le dos et à me mettre a ramper de mon seul bras valide, et ce fut très long, alors pour me maintenir éveillé, je parlais à mes nouveaux amis que je n’avais jamais vu auparavant.
Je n'avais pas assez de force pour grimper sur un, et je ne suis pas sûr qu’il aurait supporté mon poids. Je ne sais pas combien de temps j’ai mis avant d’arriver à l’entrée de Poudlard qui semble si désert. Une bête me suit jusqu’au bout et m’ouvre une porte avec sa tête. Merci mon pote, je te revaudrais ça.
Je sens l’odeur de la bouffe.. Je rampe, rampe, déversant de nouveau mon sang sur le sol, le concierge nettoiera. J’arrive par la grande porte en riant. Tout le monde fut surpris, eh ouais. On tue pas une crevure comme moi, y’a un silence en me voyant arriver. J’ai 18 ans dans pas longtemps, je me tire de cet établissement de merde dès que je peux. Ma seul réaction logique à ce moment là, est de lever mon bras valide et de baisser tous mes doigts, pour juste tendre mon majeur bien haut pour que tout le monde le voit bien avant de tomber dans les pommes.

Je me suis réveillé à l’infirmerie, je ne sais pas combien de jours plus tard. Je m’attendais à avoir les jambes et le bras emmitouflés mais non. Le premier de mes professeurs qui n’est même pas mon directeur de maison vient me demander comment ça va. Il m’appelle l’ami des bêtes dans un premier temps, ne comprenant pas. Il me dit qu’un phénix est venu pleurer pour me soigner. Je n’y crois vraiment pas, m’enfin. Puis il me demande ce qui s'est passé. Le réel coupable fut renvoyé. Je lui pose la question sur ces fameux chevaux que j’ai vu. Les Sombrals, j’ai enfin des réponses. Maintenant après l’ami des bêtes, je suis l’homme aux Sombrals.

Je reviens enfin dans ma maison avant que tout le monde m’appelle le sauvage ou encore le molosse noir des Gryffondors. Entre temps, pour valider ma dernière acquisition, il fallait maîtriser un sortilège très puissant. Et j’ai eu la bonne idée d’apprendre le Patronus. Ce qui ne fut pas du tout facile, il m'a fallu un an de travail pour pouvoir faire apparaître cette fameuse forme d’animal. J’ai dû repenser aux moments joyeux, j’étais pas sûr que ça fonctionne. Je ferme les yeux et je me mets à penser le jour du concours devant tout le monde avant de me remémorer des souvenirs. Quand j’étais encore avec mon père quand j’ai fait mon premier gâteau avec lui, quand j’ai sauvé un tigre au cirque ainsi que mon premier baiser avec Yethos. Je prononce ces fameux mots "Expecto Patronum !" Une lumière sort de ma baguette et dévoile un énorme molosse muni d’un collier à piques et de plusieurs cicatrices visibles sur le corps dont une longue qui lui traverse la gueule. J’en ai une similaire sur le visage, qui part du haut de mon œil droit et descendant sur ma joue droite. Merci la chute que j’ai faite. Je passe mon test et le réussis.

J’ai deux choix qui s’opposent à moi, soit je continue les études en spécialisation animaux magiques, soit je pars et trouve du travail. C’est ce dernier choix que je prends, je me fais engager par le Ministère de la Magie, ma réputation de dresseur s’est faite entendre et je reçois une formation de combat en trois mois, façon intensive. Je me retrouve au contrôle et régulation des créatures magiques. C’est un travail qui me plaît, j’ai envie de dire.

Chapter three : Another life
Je fais remonter l’accident que j’ai eu plus jeune, mais affaire classée.
Un beau jour, je me retrouve dans une mission afin de récupérer un objet volé pour le compte du ministère. Vu que je suis bon avec les bêtes et la nature en générale, je suis l’expert baroudeur. Je suis dans une section qui réunît deux aurores et des gens de la brigade d’élite de baguette magique. On sait que l’artefact est tenu par des criminels sorciers, c’est déjà bien. Dans un terrain hostile, je dois veiller à protéger tout le monde. On arrive sur place et s’en suit un jeu du chat et de la souris. Cela me motive à aller de l’avant malgré la difficulté de la mission. Toutefois, les noms des personnes qui on tué mon père sont dans ce groupe. J’ai plus la haine qu’autre chose. Ce qui me fait moins rire, c’est que tous mes collègues ont été éliminés. Ils sont encore cinq et je suis seul. J’attends la nuit pour frapper dans l’ombre. Mon côté prédateur prend bien plus.
Le soir venu, je me suis infiltré comme je pouvais. Avant d’enclencher une bataille, j’ai su les désarmer et briser leurs baguettes. J’en ai tué trois sur les cinq. Les deux autres sont ceux qui ont tué mes parents. Je les ai donc gardé pour la fin. Je me suis toujours demandé chez un sorcier ce qui se briserait en premier. Son corps ou son esprit ?
Peu après cet épisode peu sympathique, se fut trop pour moi, j’ai pris ma retraite pour m'habituer à la vie moldue. Travaillant dans une animalerie avant de tomber amoureux d’une femme avec laquelle je me suis marié assez rapidement, j'ai vécu l’amour fou avec elle avant de se séparer parce qu'elle m'avait trompé.

 Final chapter : Born to be wild

J’ai pris mes cliques et mes claques avant de dégager pour parcourir le monde, me former sur d’autres espèces, j’ai fait mon bonhomme de chemin. Ayant des relations d’un soir avec des personnes tellement belles que ce soit au niveau physique ou mental. Elles étaient trop bien pour moi, je suis trop pourri de l’intérieur pour apprécier les joies de l’amour. Je préfère m’accouder à un comptoir pour boire des litres d’alcool, fumer un cigare, mettre une pièce au pianiste avant de danser un twist avec une personne, la ramener dans mon pieu, payer la chambre et me barrer le lendemain.

Bien que je subis encore les préjugés et les moqueries, je m’en fiche, j’avance. Je pense que mon cœur est uniquement fidèle à la nature. Accompagné de mon fidèle side-car et des animaux qui veulent me suivre, ils me retrouvent toujours. J’ai passé trois ans à errer sans savoir ce que je voulais faire de ma vie. En même temps, t'as pas idée à 25 ans de ce que tu veux faire. Les gens apprécient ma musique, je pourrais faire carrière ou bosser avec les animaux encore. Tout vient se chambouler quand je repense à l'ancien garde-chasse et au professeur de soins magiques. Ça me rappelle les centaures et tout le monde. Je caresse mon animal de compagnie avant de le regarder. "Ça te dit qu’on retourne là-bas ? La forêt me manque."

J’ai envoyé mon vautour qui n’a pas bougé, il est juste devenu plus grand et gros, à l’image de son propriétaire. M’enfin, si j’écris tout ça aujourd’hui c’est que je suis rentré à Poudlard en tant que garde-chasse à 25 ans. Maintenant j’en ai 40. Je finirais sûrement ma vie dans cette école qui m’aura fait couler pas mal de larmes mais cela fait du bien quand on revient à la maison.

En attendant j'ai encore ses petits salopiots d’élèves qui ont brisé une fenêtre ! Faut que j’aille la réparer bordel. Je ne suis pas une machine !

~ The End ~
Derrière l'écran
Arnbjorn | Marc
Quel âge as-tu ? 26 Comment es-tu arrivé jusqu'à nous ? Faith MacGuire Comment trouves-tu notre forum ? C'est bien À quelle fréquence penses-tu nous rendre visite ? Je sais pas Un petit mot pour la fin ? Hm... Dyslexique et con à la fois, je promets pas d'vous faire voyager dans mes RPS.  
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